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HORNBACH Biel/Bienne Horaires d'ouverture
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2504 Biel/Bienne

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lun. - jeu.: 07:00 - 19:00 h
ven.: 07:00 - 20:00 h
sam.: 07:00 - 17:00 h
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La salle des congrès a un plafond d'une hauteur de onze mètres au moins, revêtu de bois entremêlés et couvert de projecteurs. On dirait une salle de concert. Éclairés de tout en haut, de nombreux stands sont collés les uns aux autres en dessous. Comme des petites scènes qui s'animent aujourd'hui de 10 heures à 17 heures; avec une scénographie individuelle et équipées de brochures d'information et de toutes sortes de petits cadeaux, allant des crayons jusqu'au pop-corn.

Au stand R5, trois collaborateurs HORNBACH mettent la touche finale. Ingo Kleffmann et ses collègues Ramona Hoffer et Christoffer Köhler étaient encore coincés dans les embouteillages il y a une demi-heure. À l'arrière-plan, se trouve un panneau d'affichage orange portant l'inscription «Make your breakthrough with HORNBACH» d'au moins deux mètres et demi de haut et trois mètres de large. Au premier plan, une grande valise de transport noire se transforme en comptoir en quelques gestes simples. «Au début, c'était vraiment compliqué avec les différents éléments du stand. Nous avons fait pas mal d'erreurs», se souvient Ingo Kleffmann en riant.

Il est 10 heures du matin et le forum de l'emploi informatique au Darmstadtium – un centre des congrès situé sur le terrain de l'Université technique de Darmstadt – est sur le point d'ouvrir ses portes.

On recherche: à peu près tous les profils dans le domaine de l'informatique

On recherche: à peu près tous les profils dans le domaine de l'informatique

En ce jour d'avril au centre des congrès, on découvre des stands d'entreprises de presque tous les secteurs. De la finance à l'industrie automobile en passant par le secteur de l'énergie. De la petite start-up à la police criminelle fédérale. Et HORNBACH ne manque pas à l'appel.

Sur le stand numéro R5, Ingo Kleffmann, responsable du recrutement chez HORNBACH, participe au premier entretien peu après l'admission officielle. Un étudiant en informatique – manteau de cuir noir, lentilles de contact bleu clair – veut une réponse à la question à laquelle M. Kleffmann doit trop souvent répondre: «Que fait un magasin de bricolage à un salon de recrutement en informatique?», demande-t-il. «Nous recherchons à peu près tous les profils en informatique», répond M. Kleffmann.

Sur le stand, se trouvent quatre feuilles de papier avec des offres d'emploi: «SAP Developer ABAP 00», «IT Inhouse Consultant – Digital Media», «Frontend Developer React» et «IT Inhouse Consultant – Master Data Management». Un coup d'œil sur la tablette de M. Kleffmann révèle également que 36 offres d'emploi en informatique, y compris des stages et des études en alternance, sont actuellement en ligne chez HORNBACH. L'étudiant le remercie pour l'info en lui serrant la main. M. Kleffmann le remercie de son intérêt avec un petit cadeau: un marteau qui est en fait un crayon et une gomme.

Une entreprise active

Une entreprise active

Quelques dizaines d'entretiens plus tard, M. Kleffmann est assis devant le Darmstadtium, profitant des rayons de soleil du printemps. La façade baroque du Palais de la Résidence de Darmstadt se reflète dans la façade de verre du centre des congrès. «C'est toujours plus calme dans les stands à l'heure du déjeuner, et les après-midi sont généralement plus calmes que les matinées», explique M. Kleffmann. Dix à quinze salons de l'emploi sont prévus chaque année pour le recrutement informatique. Les dates sont discutées, réparties et attribuées dans l'équipe. Un salon de recrutement en informatique qui se déroule sur le site d'une université technique est pour ainsi dire le scénario idéal pour M. Kleffmann. «Il y a chez HORNBACH, tellement de domaines dans lesquels l'informatique a un rôle à jouer. Nous avons une grande boutique en ligne. Et nous avons plus de 150 magasins à travers l'Europe qui doivent être pourvus en technique. De la logistique jusqu'au système de caisse», explique M. Kleffmann. Et cela demande du personnel.

HORNBACH marque des points auprès des candidats grâce à une mentalité pragmatique et à des spots publicitaires percutants. Pour le site de Bornheim, où se trouve le siège de HORNBACH, les avis divergent, admet M. Kleffmann: «Pour les personnes qui vivent ou ont grandi dans le Palatinat, mais ont étudié ailleurs et souhaitent rentrer chez elles, le site est un véritable atout. Mais il y a aussi des gens qui sont nés à Francfort et qui ont étudié à Munich. Pour eux, bien sûr, la question est de savoir pourquoi ils devraient venir dans le Palatinat.»

L'argument principal, selon M. Kleffmann, est le suivant: «Quelqu'un qui travaille pour nous, travaille pour une grande société de plus de 19 000 collaborateurs et de nombreux sites dans toute l'Europe – et dans une atmosphère de travail qui ne ressemble pas à celle d'un grand groupe. D'après ma propre expérience, je peux dire, que chez HORNBACH, les circuits de décision sont courts et les hiérarchies horizontales. J'ai eu l'expérience de situations différentes.»

Jargon du Palatinat et gilet HORNBACH

Jargon du Palatinat et gilet HORNBACH

Finie la pause déjeuner, le nombre de visiteurs du stand R5 augmente à nouveau sensiblement, même si – comme l'avait prédit M. Kleffmann – c'est un peu plus calme que le matin. Tandis que, sur le stand d'en face, un petit robot blanc aux yeux globuleux tourne en rond, Ramona Hoffer et Christoffer Köhler, collègues informaticiens de M. Kleffmann, sont à nouveau en plein entretien.

Mme Hoffer est cheffe de groupe qualification et promotion de la relève. Mme Köhler est récemment devenue cheffe de groupe pour le développement de SAP, avec un accent sur la logistique. Avec leur façon de parler typique du Palatinat et leur gilet HORNBACH, Mme Hoffer et M. Köhler forment un contraste par rapport aux nombreux porteurs de costumes présents sur les autres stands. C'est plutôt bien vu par les informaticiens au style gothique / lentilles bleu clair, les geeks en sweat à capuche ou les jeunes étudiantes en informatique, souvent originaires d'Extrême-Orient. Cela plaît par exemple à Lukas.

Ce grand gaillard de 21 ans est originaire du Rhin inférieur et étudie la psychologie et l'informatique. «Mon numerus clausus n'était pas suffisant pour la psychologie seule, alors j'ai commencé l'informatique. Puis j'ai réalisé que l'informatique me captivait plus que je ne le pensais», dit-il. L'interaction entre la psychologie et l'informatique le fascine: «Il y a de plus en plus de connexions entre les gens et les ordinateurs. Et c'est là que la psychologie entre en jeu».

Lorsqu'on lui demande d'expliquer ses études à l'aide d'exemples pratiques, Lukas ne se fait pas prier: «Lorsque tu utilises un téléphone portable, tu veux comprendre ce que font les différentes touches ou comment télécharger quelque chose. Je regarde comment un utilisateur manipule un téléphone, par exemple ce qu'il regarde en premier, puis je peux concevoir un téléphone pour qu'il soit aussi intuitif que possible. Mais la psychologie entre également beaucoup en jeu lorsqu'il s'agit d'intelligence artificielle. Par exemple, lorsqu'il s'agit de la conscience humaine chez les robots», explique-t-il.

Lukas est actuellement dans son 4e semestre et cherche un stage en informatique. Pourquoi pas chez HORNBACH? «Ce serait certainement une possibilité», dit-il alors.

Alors que Lukas se trouve déjà deux stands plus loin, Mme Hoffer et M. Köhler discutent encore des opportunités qui pourraient s'offrir à Lukas chez HORNBACH. «Peut-être quelque chose dans la sécurité informatique?», dit Mme Hoffer. Köhler acquiesce.

En raison de la perception

En raison de la perception

Peu avant 17 heures et donc peu avant la fin du salon, les visiteurs restants peuvent être comptés sur les doigts des deux mains. Le trio HORNBACH a passé sept heures à faire la publicité de l'informatique et M. Kleffmann semble satisfait: «Il est important pour nous que HORNBACH soit perçu comme un employeur IT à part entière», dit-il. C'est actuellement la mission principale.

Le temps que les nombreux projecteurs au plafond s'éteignent, le stand se replie dans le comptoir et le comptoir redevient valise. Et HORNBACH est désormais un employeur potentiel pour certains étudiants en informatique.

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